Le Projet Phenix s’inscrit dans un contexte
scientifique marqué par plus de 50 années de
recherches sur la vie extraterrestre dont le coup d’envoi
fut donné par la NASA, permettant aux programmes de type
SETI (Search for ExtraTerrestrial
Intelligence) d’intégrer la sphère scientifique avec pour
caution de nombreux physiciens et astronomes de renom.
Depuis la 1ère tentative d’écoute du cosmos baptisée Ozma,
menée par l’astronome Franck Drake en 1960 (père de
l’équation mathématique qui donne une estimation du nombre
potentiel de civilisations extraterrestres. Le résultat de
cette équation justifie la validité́ et le bien-fondé́ des
programmes SETI), les investisseurs privés et les
gouvernements n’ont jamais négligé́ ce sujet des plus
sensibles qui n’appartient plus, désormais, à la sphère des
« parasciences ».
En 2009, un nouveau spectromètre, Serendip V, monté sur
le radiotélescope d’Arecibo au Mexique, a vu le jour grâce
à des fonds privés et est désormais géré́ par l’Université́
de Berkeley. Tandis que les satellites Kepler
de la NASA et COROT du CNES (Centre
National d’Etudes Spatiales Français) s’orientent vers la
découverte de planètes de type terrestre, à terme, le
radiotélescope Allen Telescope Array
(financé entre autres par Paul Allen, cofondateur de
Microsoft) disposera de 350 antennes au nord de la
Californie entièrement dédiées à la recherche de
civilisations extraterrestres avancées !
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